Le journal américain le New-York Times a indiqué que les musulmans américains ont fait collectivement beaucoup d’efforts durant les années qui ont suivi les événements du 11 septembre 2001 pour entrer en relation avec les non-musulmans, et ce, afin de leur démontrer qu’ils rejettent totalement le terrorisme, de leur faire connaître l’Islam ou encore d’inviter les adeptes des autres religions à se joindre à eux lors des fêtes musulmanes par exemple.
Le quotidien a ajouté que ces musulmans ont été satisfaits d’entendre les commentaires positifs de nombreux intellectuels américains qui consistent à dire que les musulmans vivant aux Etats-Unis ont accompli de grandes avancées et ont globalement réussi à s’intégrer dans la société, en tous les cas beaucoup plus que ne l’ont fait leurs coreligionnaires qui vivent dans les sociétés européennes.
Cependant, toujours selon le New-York Times, les musulmans américains eux-mêmes disent que toutes ces années de travail difficile ont presque étaient réduites à néant à cause de l’opposition violente qu’a rencontrée le projet de construction d’un centre culturel islamique près de l’endroit où s’est effondré le World Trade Center lors des événements de septembre 2001. Cette opposition a d’une certaine manière libéré les sentiments hostiles dirigés contre les musulmans qui se sont traduits notamment par des actes de vandalismes à travers tous les Etats-Unis contre des lieux identifiés comme appartenant à des musulmans.
Une peur sans cesse grandissante :
Le journal new-yorkais a rapporté le témoignage de certains musulmans américains à travers lesquels ces derniers affirment que leur crainte augmente à chaque anniversaire des attentats du 11 septembre. Un prête d’une petite église de l’Etat de Floride avait promis de brûler un exemplaire du Coran le jour de a commémoration des dix ans de ces tristes événements, menace qu’il a mis en effet à exécution.
Le journal explique par ailleurs que les musulmans sont assis chez eux devant leur télévision pétris de peur en écoutant des informations et des programmes qui ne cessent de dénigrer l’Islam en disant notamment que « ce n’est pas une religion mais une idéologie politique », que les musulmans ne peuvent pas être de « bons citoyens américains » ou encore que leurs mosquées ne sont en fait que des « lieux de recrutement et de formation des djihadistes extrémistes ».
Afin de relever ce défi de ce que l’Association islamique d’Amérique du Nord appelle « la prolifération de la peur et du fanatisme », cette dernière a décidé de réunir à Washington les hautes autorités des trois grandes religions monothéistes (Islam, judaïsme et christianisme).
Farhân Asghar, qui est un musulman américain exerçant la profession de chirurgien spécialiste de la colonne vertébrale dans la ville Cincinnati, a exprimé sa peur dans les colonnes du New-York Times, il a en outre posé une question essentielle : « Nous, musulmans, pouvons-nous désormais être intégrés dans la société américaine ? ».
Certains musulmans américains ont déclaré que leur communauté est désormais menacée par mille dangers, et ce, bien que le président américain ne soit pas seulement considéré comme l’ami des musulmans, mais de nombreuses personnes pensent qu’il est lui-même musulman – son père était bel et bien musulman mais Obama a affirmé à plusieurs reprises qu’il était de confession chrétienne ; en fait, chose étrange, les musulmans se sentent bien plus menacés aujourd’hui qu’à l’époque où le pays était dirigé par George W. Bush. Il semblerait donc que la vision qu’ont les Américains de l’Islam et des musulmans n’ait aucun lien avec la tendance politique au pouvoir ; ce phénomène inquiétant est sans doute plutôt à chercher du côté des médias où une certaine communauté du Livre a une grande influence, laquelle lui permet de modeler l’opinion publique à son gré selon son propre agenda.
Cette situation inquiétante met en évidence la toute puissance de la communauté juive exercée sur la société américaine, notamment via des organisations comme l’AIPAC ; en effet, cette communauté, anciennement installée aux Etats-Unis, a pu atteindre un tel niveau de pouvoir qu’elle se permet de dicter ses ordres au sénat, au congrès et aux divers présidents qui se succédèrent à la Maison Blanche, à ce propos l’un des rares présidents à s’être opposé frontalement à eux fut John F. Kennedy, ce dernier avait fait voter des lois qui réduisaient le pouvoir de la Banque fédérale américaine (ou FED), laquelle, qui est sous contrôle sioniste, est le vrai cœur du pouvoir américain ; le président catholique d’origine irlandaise paya de sa vie sa tentative de rendre aux vrais américains un pouvoir usurper par une bande de banquiers cosmopolites qui par l’argent et la ruse ont mis à genoux les institutions et le peuple américains.
Ainsi, l’oligarchie financière et apatride, logeant aux Etats-Unis comme un ver dans une pomme, a tous les moyens de désigner, via des médias à leur botte, les musulmans comme des ennemis de l’intérieur dont il faut se méfier, l’entente naturelle qui pourrait avoir lieu entre citoyens américains chrétiens ou athées et citoyens américains musulmans est parasitée par la propagande malveillante de la communauté juive qui défend inconditionnellement l’Etat pirate et fasciste d’Israël et considère donc que les musulmans, naturellement pro-palestiniens, sont leurs ennemis mortels. Par conséquent, les musulmans américains qui n’ont pas la même assise économique et politique que les Juifs, loin s’en faut, doivent s’attendre à être fort malmenés par ces derniers et donc par le peuple américain dont la majeure partie prend la propagande sioniste pour parole d’Evangile.